Mise à jour concernant l’examen conjoint des partenaires de Développement et Paix

mercredi, juillet 18, 2018

La Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC) a amorcé avec l’Organisation catholique canadienne pour le Développement et la Paix (OCCDP) un examen conjoint de l’ensemble des partenaires internationaux de l’OCCDP. Cet examen se poursuit.

Plus tôt cette année, des observations préliminaires avaient mis au jour chez certains partenaires des déclarations et des opinions qui semblaient faire problème du point de vue de l’enseignement social et éthique catholique. L’OCCDP  a proposé un ordre de priorité pour l’examen plus approfondi des cas problématiques, en fonction de la gravité relative des questions soulevées par les premières observations.

Les conversations se poursuivent entre la CECC et l’OCCDP, et d’autres mesures ont été prises pour établir les faits, notamment en prenant contact avec les partenaires de l’hémisphère sud. La CECC et l’OCCDP restent convaincues l’une et l’autre de l’importance et de la nécessité de cet examen qu’on devra compléter dans les prochains mois, c’est-à-dire dans les délais impartis, mais sans transiger sur la rigueur, l’intégrité et la transparence.

La Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC) a amorcé avec l’Organisation catholique canadienne pour le Développement et la Paix (OCCDP) un examen conjoint de l’ensemble des partenaires internationaux de l’OCCDP.

Cet examen se poursuit. Plus tôt cette année, des observations préliminaires avaient mis au jour chez certains partenaires des déclarations et des opinions qui semblaient faire problème du point de vue de l’enseignement social et éthique catholique. L’OCCDP  a proposé un ordre de priorité pour l’examen plus approfondi des cas problématiques, en fonction de la gravité relative des questions soulevées par les premières observations.

Les conversations se poursuivent entre la CECC et l’OCCDP, et d’autres mesures ont été prises pour établir les faits, notamment en prenant contact avec les partenaires de l’hémisphère sud. La CECC et l’OCCDP restent convaincues l’une et l’autre de l’importance et de la nécessité de cet examen qu’on devra compléter dans les prochains mois, c’est-à-dire dans les délais impartis, mais sans transiger sur la rigueur, l’intégrité et la transparence.